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Bernard Stiegler - conférence philonium

" Le soi et l’identité numérique : de la décomposition analytique du portrait au collage dadaïste, de la photographie de mode au profil Facebook, qui est « je » ? Suis-je ce que je représente de moi ? L’identité numérique, aussi idéalisée soit-elle, influe-t-elle sur ce que je suis ? Doit-on alors parler de la fragilité extrême d’un moi exposé ou d’un excès de narcissisme ? "

Voilà l'introduction et "synospsis" de la conférence qui nous attend.

En ce qui me concerne, je n'ai peut être pas suffisament lu entre lignes pour entendre les réponses à ces questions. En revanche, j'ai entendu bien d'autres choses. Nourri d'un vaste reseaux de références en tout genre, Mr Stiegler à mis en etallage un internet qui à l'origine se voulais privé et ellististe, réservé à un reseau de scientifique. Puis à poursuivis avec le début d'une révolution, née d'un geste généreux, la volonté de partager, d'offrir un outils merveilleux à tous. C'est ici que l'exposé s'acheve pour laisser place à un discours critique. Celui d'un outils dangereux, balbutiant, mal pensé et mal agencé, manquant cruellement de remise en question au niveau de sa conception mais aussi de son utilisation.

Platon, Thot, fresques anciennes, appareil photo et machines robotiques foxcon se font un bras de fer. Ce philosophe du numérique nous rappel que nous sommes riches, d'un savoir, mais aussi d'une mémoire, celle d'une civilisation ayant aquis des enseignements et connaissances transformées en philosophies et en croyance, que aujourd'hui nous balayons. L'évolution voudrais qu'on ne mettent pas à mal les fondements de notre raison, et l'esprit critique.

Bernard Stiegler nous rappel que nous sommes entré dans une ère anthropocène , où il est plus important que jamais de faire des choix et d'avancer , créer et produire de manière plus raisonnable. Comment faire entrer cette responsabilité dans l'esprit de chacun ? La société dont nous faisons partie et nos idées reçues ne sont plus en adéquation avec le monde dans lequel on évolue . Comment faire changer cela , quelle place à le design dans ce changement . Les enjeux sont clairs , pollution , sous toutes ses formes, inutilité des production , surproduction , hyperindustrialisation , consumérisme , capitalisme. Le système dans lequel nous vivons vois aujourd'hui se develloper des portes de sorties.

Comment poussé ses portes , comment donner la possibilité à chacun de participer ? Stiegler nous met en face de cette réalité.

En tant que concepteur , le plus grand bien , le bien commun , la générosité des concepteur est souvent basés sur une image de soi multiplié.

Nous faisons souvent face à cette difficulté en tant que désigner , en souhaitant servir un maximum de personnes , en choisissant des cible , c'est nous même que nous projetons , nos propre désire , et notre regard sur le monde . Ce regard est unique et quoi que partant d'une bonne intention , déplacer . D'où l'utilité de travailler en conjoncture avec des personnes de différents milieux, différentes disciplines. Cet exercice est fructueux , la mise en confrontation offre dans le processus créatif un rapprochement du bien commun . ( rappel démocratie : conflit / parole / débat ) . C'est ce qui amène au progrès .

Notions à creuser :

discretisation

Pharmacon

grammatisation

disruption

organogenese

Antropie & Negantropie

ère Antropocène

Momento

Dialectique


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